Institut de Formation à l'Animation

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    • DEJEPS Spécialité : Animation socio éducative et culturelle – Mention : Développement de Projet Territoires et réseau
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Nouvelles modalités de l’apprentissage à partir du 1er janvier 2019 !

4 avril 2019 By Erwann FEST

Dans le cadre de la réforme de la formation professionnelle, plusieurs décrets ont été votés fin décembre 2018.

De nombreux changements sont en place dès maintenant, pour tous les nouveaux contrats signés à partir du 1er janvier 2019 (évolution du taux de rémunération et des exonérations de charges salariales et patronales, modification des aides pour les employeurs et pour les apprentis, rupture des contrats simplifiés, etc). Retrouvez les informations à jour sur notre site internet ou contactez-nous pour en savoir davantage sur le contenu de ces derniers décrets.

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Paris 2024 : 80 métiers pour participer aux Jeux olympiques

4 avril 2019 By Erwann FEST

BTP, organisation, animation, tourisme… De nombreux métiers dans divers secteurs seront mobilisés pour les Jeux olympiques de Paris en 2024. L’Etudiant a identifié ceux qui vont recruter, voire recrutent déjà. Nous les avons classés en huit grandes familles. Faites votre choix !

Les Jeux olympiques Paris 2024, cela paraît loin à l’heure où vous êtes plutôt concentré sur les révisions du brevet, du CAP, du bac ou de votre licence. Pourtant, pour travailler sur les JO en France, il faut vous former maintenant ! En 2024, 15.000 athlètes, 20.000 journalistes et des centaines de milliers de visiteurs sont attendus.Bonne nouvelle : « Les besoins en emploi concerneront tous les niveaux de formation », indique Marie Barsacq, la directrice Impact et Héritage de Paris 2024. 

Début avril 2019, le comité d’organisation a publié une cartographie des recrutements dans la perspective des Jeux. « En elle-même, l’organisation de l’événement mobilisera 78.300 emplois, précise Marie Barsacq. Le deuxième secteur pourvoyeur est le tourisme avec 60.000 emplois. Enfin, le secteur de la construction mobilisera 11.700 emplois. »

Au total, 150.000 professionnels travailleront au succès des Jeux olympiques dans les cinq ans à venir. Peut-être vous ? Si les embauches s’effectuent à petite dose en 2019 (un peu moins de 1.000), elles vont aller grandissant d’année en année avec l’apothéose en 2024. Voici les huit familles de métiers que l’Etudiant a identifiées si vous voulez faire partie de l’aventure, pas seulement comme spectateur mais à titre professionnel.

source: https://www.letudiant.fr

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Quels sont les objectifs de l’animation en maison de retraite ?

4 avril 2019 By Erwann FEST

Les animations occupent une place importante dans la prise en charge en maison de retraite. Les Ehpad emploient un ou plusieurs animateurs pour préparer et mettre en œuvre le projet d’animation de l’établissement.

Les différentes activités proposées sont conçues par l’équipe d’animation de l’Ehpad, avec plusieurs objectifs :

  • créer du lien social entre les pensionnaires et avec les équipes,
  • stimuler les capacités de chacun,
  • prévenir la perte d’autonomie,
  • offrir du bien-être aux résidents et assurer un mode de vie qui a du sens,
  • favoriser les liens avec l’extérieur et la famille.

Les animations pour personnes âgées en maison de retraite permettent de donner du sens au projet de vie des seniors, en les gardant actifs, au travers d’activités adaptées à leurs capacités et à leurs envies. Chacun doit pouvoir participer, pour profiter aussi bien du caractère sociale que ludique de l’animation, sans être bridé par son état de santé. L’activité en maison de retraite fait vraiment partie du projet d’établissement des Ehpad.

source : https://www.capretraite.fr/vivre-en-maison-de-retraite/le-quotidien/les-animations-en-maison-de-retraite/

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Compte personnel de formation : quelles formations éligibles ?

4 avril 2019 By Erwann FEST

Toute action de formation ne sera pas éligible au Compte Personnel de Formation (CPF). L’ANI du 14/12/2013, tout comme le projet de loi formation – emploi – démocratie sociale, le réservent à des formations qualifiantes. Voici donc le grand retour de la qualification… et de l’initiative encadrée.

Les dispositions de l’ANI et du projet de loi sur les formations éligibles

Dans son article 12, l’ANI précise expressément que seules les formations qualifiantes seront éligibles, et le texte précise ce que cette expression recouvre :

  • Formations permettant d’acquérir des « compétences attestées », qualification, certification, diplôme, « qui sont autant de repères professionnels sur le marché du travail ». (…)
  • Ces formations doivent (…) correspondre « aux besoins de l’économie prévisibles à court ou moyen terme  et favorisent la sécurisation des parcours professionnels des salariés ».

Ainsi, au titre de l’Accord, une formation qualifiante est celle qui conduit à :

  • Une certification inscrite au répertoire national des certifications professionnelles (RNCP);
  • Un certificat de qualification professionnelle de branche (CQP) ou interbranche (CQPI);
  • Une certification ou  habilitations correspondant à des compétences transversales exercées en situation professionnelle (inventaire mentionné au sixième alinéa de l’article L. 335-6 du Code de l’éducation, en cours d’élaboration par la CNCP);
  • Le socle de connaissances et compétences (ANI du 5 octobre 2009, IV.4)

Cependant, toutes les formations correspondant aux critères ci-dessus ne seront pas éligibles de fait au CPF : c’est une condition nécessaire mais pas suffisantes.

Les formations éligibles seront choisies parmi celles répondant aux critères ci-dessus. Et la liste des formations accessibles en définitive via le CPF différera, que l’on soit salarié ou demandeur d’emploi.

Pour les salariés, les formations accessibles seront (art 17 ANI et L 6323-16 dans le projet de loi) des formations correspondant aux critères définies à l’article 12 et :

  • Figurant sur une liste élaborée par la CPNE de branche ou sur une liste élaborée par les Commissions Paritaires Nationales d’Application de l’Accord (CPNAA) des OPCA interprofessionnels;
  • Figurant sur une liste élaborée dans la région dans laquelle est implantée son entreprise ou établissement, par le CPRFPE
  • Figurant sur une liste élaborée au niveau national par le CPNFPE.

Pour les demandeurs d’emploi, les formations accessibles seront (Art 19 de l’ANI, rédaction de L 6323-21 proposée par le projet de loi) : des formations qualifiantes (…)

  • Figurant sur une liste élaborée dans la région où le demandeur d’emploi est domicilié, par le CPRFPE (…)
  • Figurant sur une liste élaborée au niveau national par le CPNFPE.

Le payeur est au final le décideur

On l’a bien vu pour le DIF…
Dès lors, les formations éligibles au CPF ne peuvent pas être considérées indépendamment de leur financement.

Pour le salarié, les financeurs potentiels seront :

  • L’entreprise, si un accord d’entreprise de branche ou d’entreprise prévoit la gestion directe de la contribution 0,2% CPF. Un accord d’entreprise peut également prévoir que l’employeur abonde en heures le CPF.

Ainsi, une entreprise ayant le besoin de faire face à des difficultés de recrutement sur des métiers en tension, ou à l’évolution prévisible des métiers, pourrait inciter des salariés à se qualifier en construisant des filières métiers liées à des parcours certifiants, sanctionnés par des CQP à différents niveaux par exemple.

  • L’OPCA, si la formation est inscrite sur la liste de la CPNE de la branche ou de la CPNAA de l’OPCA interprofessionnel.
  • Le FPSPP  quand les actions de formation sont mises en œuvre au titre des listes interprofessionnelles élaborées au niveau régional et national

Pour le demandeur d’emploi

Ce sera le FPSPP, et l’institution ayant éventuellement abondé le compte, qui financeront les coûts de formation.

Au final, une initiative encadrée

A chaque fois, l’élaboration des listes sera donc le fruit d’une négociation. De la vision des enjeux – de l’entreprise, de la branche, du territoire – qui s’en dégagera, mais aussi de la nécessité de réguler les dépenses, résultera la liste des formations éligibles au CPF.

Le droit d’initiative se trouve ici relativisé, comme l’écrit JP Willems dans sa chronique « L’ANI du 14/12/2013, un pas en avant, un pari et quelques pas perdus » : « (..) s’agissant d’un accord qui souhaite responsabiliser chacun, il place le salarié sous tutelle paritaire (…). Si la simplicité y gagnera, difficile d’en dire autant de la responsabilité (et si l’on veut bien se rappeler que la formation est un marché, quid du respect des règles de concurrence dans la définition de listes fermées ?) ».

C’est bien cette volonté de régulation  qui ressort des travaux de la concertation quadripartite (chapitre IV de la synthèse définitive, à propos de la formation des demandeurs d’emploi) : « La rationalisation des achats collectifs et des aides individuelles et l’optimisation des moyens de formation entre les différents financeurs intéressés (Région, Pôle Emploi, Fongecif, OPCA, Agefiph principalement) constitue une voie pour financer davantage de places en formation ».

Côté salariés, l’ANI (article 11) donne aux branches pour mission d’assurer la qualité des formation qu’elles financent ou co-financent, mais aussi de définir des règles de prise en charge :  modulation de forfaits « heures », instauration de forfaits « parcours »,  « prise en compte des coûts d’ingénierie concourant à la qualité des formations ».

C’est bien ce que l’on avait compris au travers des propos de Stéphane Lardy (FO) : « Les listes sont aussi un moyen de faire de la régulation financière ».

Au final, l’initiative du CPF s’exercera au sein d’une offre configurée en fonction des besoins de l’économie, à court et moyen terme, et dont les coûts seront régulés.

On comprend bien l’intention des négociateurs et du législateur : donner au plus grand nombre de jeunes sans qualification, demandeurs d’emploi et salariés, et de préférence aux plus fragiles, accès à des formations véritablement aidantes pour leur parcours professionnel.

Cependant, si elles sont trop fermées, les listes susciteront peu d’appétence. Trop tournées vers certains prestataires, elles fausseront le droit à la concurrence. Trop ouvertes, elles ne permettraient pas la maîtrise des coûts – sauf à envisager le co-financement par le bénéficiaire lui-même, un peu tabou jusqu’à présent…

La voie sera étroite, qui permettrait de faire vivre l’initiative individuelle sur une offre qualitative, porteuse des compétences métiers et transversales nécessaires au XXIème siècle.

source: https://www.formation-professionnelle.fr/2014/02/03/compte-personnel-de-formation-quelles-formations-eligibles/

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